Zia, Estéban et Tao continuent d'examiner les documents sans âge que le cartographe et chef pilote Mendoza leur partage afin de les aider dans leur quête.
Ils semblent révéler un passé pour le moins étonnant où une dizaine d'espèces d'hominidés se seraient côtoyées entre alliances et rivalités, certains plus "primordiaux" et sauvages n'hésitant pas à capturer les humains comme un simple gibier.
Des êtres hirsutes et belliqueux, des géants simiesques, des nains bâtisseurs de dolmens et de temples souterrains aimant les métaux à l'état natif pour les modeler (bijoux en or circa 40 000 BC), des êtres extrêmement graciles à une riche culture ou tout simplement des hommes tentant de survivre se seraient ainsi disputés les espaces.
Une agriculture simple ou des récoltes accompagnées de fabrication de différents types de pains sont attestées (vestiges de religions à Mystères, Amidon dans le tartre dentaire, meules).
La semi domestication ou la domestication salvatrice des ongulés (comme le cheval ou le renne) apparait comme une constante.
Une astronomie sophistiquée complète ce tableau comme l'illustre par exemple l'os de l'abri de Blanchard (circa 35 000 BC), ainsi sans doute qu'un art affirmé de la navigation.
In fine, et si Tolkien avait eu raison !
Retrouvez la suite du dossier de Franck Ferrandis dans les pages de Génération Cités d'Or #10 :
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