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Photo du rédacteurAntoine Station

GCDO#07 - Peter Knight - La guerre des images de l'ID à travers la SF (partie 1/2).


Dans les précédents numéros de Génération Cités d’Or, nous avons montré que l’élite gère le monde de l’image via les films et séries de science-fiction et, récemment, j’ai découvert un cryptogramme dans le clip du groupe Other lives évoquant un atterrissage sur Mars. Il y a tout lieu de croire que les visions dans ce clip font partie d’une réalité secrète faisant écho au film de Stanley Kubrick 2001 l’Odyssée de l’espace.



Wernher von Braun n’avait-il pas dit en son temps que la Lune devait servir de plate-forme pour ensuite coloniser Mars ainsi que d’autres planètes du système solaire ?

D’ailleurs, le film britannique La Marque et son héros, le savant Allan Quatermass, montrent comment construire des dômes lunaires que les astrophysiciens H. P. Wilkins et Morris K. Jessup ont justement observé sur la Lune, remplaçant certains cratères. (cf Le secret des Envahisseurs Tome 1, p. 161) Une image du film montre en bout de piste, derrière Quatermass, une fusée ayant la forme de celle des albums de Tintin, Objectif Lune et On a marché sur la Lune. Hergé lorsqu’il a créé ces deux albums, au début des années 1950, aurait-il obtenu des renseignements de Werner von Braun lui-même ?


Dès le début du film La Marque (Quatermass 2) de Val Guest, en 1957, Quatermass s’adresse à ses collaborateurs:: “Notre projet lunaire est mort et enterré, messieurs. Ils nous enlèvent notre budget. […] Essayez de défendre ce genre de projet auprès des fonctionnaires du gouvernement britannique... De gigantesques demi-sphères métalliques où des hommes pourront vivre en atmosphère artificielle ; des êtres vivants dans un monde totalement mort. 50 fusées pour transporter des pièces détachées jusqu’à leur miroir solaire ; des ateliers de fabrication, des dômes pressurisés… je n’étais jamais allé aussi loin.

Je leur ai juste donné le prix courant et vous savez ce qu’ils ont dit ? Qu’à ce jour j’avais déjà dépensé trop d’argent pour une fusée qui n’était même pas prête à décoller ; que pour le moment ils ont un projet qui a autrement plus d’importance [... ] Bon sang c’est quand même assez important à réussir à construire une colonie sur la Lune et ensuite y envoyer des hommes pour y vivre et travailler.” Sorti du laboratoire avec un scientifique, il poursuit : “Vous voyez tout ce qu’il y a ici c’est la somme du travail qu’on a accompli jusqu’à présent et puis il y a cette fusée sans équipage même pas testée.

- Parce qu’on n’ose pas, c’est tout.

- Ça n’est pas sûr.

- Pas sûr vous dites ? Le moteur nucléaire est si défectueux.

- Pour l’instant on n’en sait rien.

- Ecoutez Quatermass c’est à eux qu’il faut dire ça pas à moi. Nous savons qu’en faisant décoller cette fusée nous envoyons une bombe atomique.

- Nous pourrions l’envoyer sans équipage, par contrôle radar…”


Avec ce dialogue placé à 0.07 minutes (!) et la fusée posée en arrière-plan, nous avons la trame du roman de James Bond “Entourloupe dans l’azimut” (Moonraker). Dans ce livre de Ian Fleming datant de 1955, le comte Hugo Von Der Drake crée le Vise-Lune, une fusée. Il appartenait au Service des Renseignements des SS R.S.H.A sous les ordres directs de l’Obersturmbannführer, Otto Skorzeny, qui avait pour mission d’organiser le terrorisme et le sabotage. En réalité, le Vise-Lune de Drake était un V2 nucléaire géant pour détruire Londres.

“Au milieu du puits, qui avait près d’une dizaine de mètres de diamètre, se dressait une sorte de crayon de chrome étincelant dont la pointe, aigüe comme une aiguille, semblait effleurer la coupole à six ou sept mètres au-dessus de leur tête. Le projectile miroitant reposait sur un cône tronqué d’acier évidé qui s’élevait du sol entre les pointes de trois ailerons en delta, au profil net, qui paraissaient aussi tranchants que des scalpels de chirurgien. Rien d’autre ne troublait l’éclat soyeux des seize mètres cinquante d’acier chromé bien poli…” (Entourloupe dans l’azimut, Robert Laffont, Bouquins, 2017, vol. 1, chapitre 12, p.335-336).

C’est la description à l’identique de la fusée en arrière-plan de Quatermass [NDLR : à voir dans le film]. Dans le scénario de La Marque, la fusée va servir à détruire un immense satellite en orbite objet d’un complot mondial et d’une invasion. Ce film britannique est sorti deux ans après le roman de James Bond, comme si les codes se rejoignaient, se confondaient pour révéler l’invasion Paperclip d’obédience nazie.


Ian Flemming et Christopher Creighton se sont rendus en Suisse le 11 janvier 1945 pour rencontrer Ernest Nobs, le ministre des Finances. “Dès qu’il apparut que Flemming savait exactement quelles banques suisses détenaient secrètement le trésor et qu’il connaissait les numéros des comptes, le ministre des Finances avoua les faits. Il alla même plus loin en offrant aux deux britanniques la preuve qu’ils avaient bien raison. [Ils] furent escortés jusqu’à un hameau perdu dans les Alpes, où une immense chambre forte avait été creusée dans la paroi rocheuse d’une montagne. À l’intérieur de ce gigantesque coffre-fort de la Banque nationale de Bâle se trouvait la totalité des trésors que les nazis s’étaient illégalement appropriés [...] Le compte “Nationalsozialistische Deutsche Arbeiterpartei 60 508“ appartenait à Martin Bormann. Le récit de Creighton pourrait expliquer pourquoi ce fait a été placé sous silence pendant cinquante ans. Il prétend, en effet, que l’or récupéré représentait non pas des millions de dollars mais des milliards, et qu’une grande partie de ces sommes fut récupérée par les Britanniques et les Américains. Il alimente aussi les rumeurs selon lesquelles l’argent non récupéré aurait servi à la reconstruction de l’Allemagne et à la nouvelle Guerre Froide contre le communisme” (Opération James Bond, Facteur X, n°59). Mais pas seulement !


Tout ceci a déclenché l’opération d’exfiltration nazie dans le monde entier et l’infiltration de tous les domaines de la culture (romans, séries et films de science-fiction) pour y placer des cryptogrammes comme dans La Marque et tous les films de James Bond 007. N’oublions pas que le premier agent secret 007 s’appelait John Dee en plein XVIème siècle, “00” signifiant “rien que pour vos yeux” (ceux de la Reine) et “7” correspondant à l’ouverture des sept chakras et à la nature unipolaire de l’homme primordial. Dans le film Thunderball, James Bond représente le véritable Apollon nordique “Lykéios” utilisant une haute technologie à décollage vertical (Jet pack) depuis le château d’Anet dédié à Diane chasseresse, la sœur d’Apollon, et Zeus, leur père, leur avait donné le permis de tuer !


La fiction “La Marque”, dans ses codes, évoque une invasion d’êtres affublés de masques à gaz et tuant toute personne cherchant la vérité. Le complot remonte jusqu’au gouvernement britannique et raconte l’histoire des nazis de Paperclip en arrière-plan et de leur idéal de coloniser la Lune en y construisant des bases en forme de dômes que les ufologues Harold Tom Wilkins (auteur de “Flying saucers on the moon”) et Morris Ketchum Jessup (auteur de “la question des OVNIs” ) ont observés. Notons que Jessup fut retrouvé mort après sa déclaration.

Ces mêmes cryptogrammes se retrouvent dans les films mais surtout dans les romans de James Bond. Ainsi, dans “Bons baisers de Russie”, Flemming avertit le public dès l’introduction de la véracité de ses informations. Il donne, par exemple, l’adresse précise du SMERSH (“mort aux espions”) au n°13 Sretenka Ulitsa, à Moscou. Une de mes connaissances à Monaco m’a révélé qu’un double 007 agit pour le gouvernement et qu’un autre, toujours recherché par sa femme, a disparu en Afrique. Le secret polaire de la guerre pour l’énergie libre a commencé lorsque le premier 007, John Dee, écrivait à la reine Elisabeth que le Groenland, constitué de sphères alignées le long du pôle, s’étendait jusque sur une autre terre. Ses lettres prouvent qu’une guerre secrète sévit avec une haute technologie. En 1947, l’amiral Byrd évoque des disques volant d’un pôle à l’autre à des vitesses stupéfiantes, démontrant qu’une guerre pour l’énergie libre a lieu avec une race capable de s’élancer avec des véhicules à énergie infinie depuis les deux pôles terrestres.

Venons-en maintenant au groupe OTHER LIVES et leur clip magnifique “FOR 12ˮ mystérieusement codé. En 2011, ce groupe musical prend l’exemple du film de Stanley Kubrick 2001 l’Odyssée de l’espace (1968) pour montrer une évolution de type quantique, un monolithe mystérieux de forme rectangulaire sur la Lune pour Kubrick et triangulaire dans ce clip sur Mars faisant allusion à l’existence concrète des pyramides martiennes découvertes sur la mer pétrifiée d’Acidalia dans la région de Cydonia Mensae et au monolithe découvert sur Mars en 2005.

Plusieurs fois, il a été rapporté que Mars bénéficiait d’une atmosphère, de 4 saisons et de végétation à l’Équateur. Dans le clip (à 3 min 12), le chanteur enlève son casque en posant le pied sur la planète pour montrer qu’il y a des zones bleues d’oxygène...


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