C’est dans l’indifférence des égyptologues qu’en 1976, un livre remarquable a été publié par les éditions Henri Peladan à Uzès, dans le Gard. Sous le titre “CHEOPS, pharaon du début et de la fin des temps”, un auteur inconnu du grand public, Jean Groffier, présentait ses recherches sur la Grande Pyramide. L’éditeur avait envoyé cet ouvrage à la radio FR3 Languedoc-Roussillon à Montpellier. A cette époque, j’animais sur cette radio une émission hebdomadaire sous le titre “Les mystères de notre temps”. Une journaliste chargée d’aller interviewer cet auteur m’a demandé de l’accompagner, les mystères du passé n’étant pas dans ses spécialités. Munis du plus récent magnétophone, nous sommes partis dans les Cévennes où Jean Groffier vivait retiré dans un petit village de montagne. Il nous a reçus dans sa maison très pittoresque où nous avons pu voir les cachettes où se réfugiaient les protestants pendant les guerres de religion. L’ambiance était austère et chargée du poids de l’histoire, mais notre hôte et sa compagne nous ont mis à l’aise par leur accueil simple et chaleureux.
Jean Groffier avait été fonctionnaire international. Il avait vécu plus de vingt années au Moyen-Orient et avait participé à la création des “cahiers de l’Unesco”. Il n’était pas avare de confidences et nous a raconté comment, entre les deux guerres, il avait été membre d’une équipe qui avait photographié “au magnésium” l’intérieur de la pyramide de Chéops. Il connaissait très bien ce monument, son histoire et tous les symboles qu’il contient et qui révèlent des connaissances insoupçonnées. Cette visite marqua le début d’une amitié, d’une collaboration qui fut passionnante et de confidences exceptionnelles...
Retrouvez la suite de l'article de Charly Samson dans Génération Cités d'Or#04
Commentaires